Il est rare que nous revenions de nos balades sylvestres
sans un « petit quelque chose » dans notre besace, dans notre tête et
notre cœur.
Cette fois-ci, il s’agit de messages posés sur des arbres,
en forêt du Cranou (Finistère).
Nous avons juste un petit problème pour en comprendre le
sens :
Le premier :
Gout'ra an teod livan gevier
Se ne c'hall ket al lagad ober
Chom dilavar ha sel ouzhin
Neuze da sonjoû a ouezin
Pour lequel, avec l’aide d’amis, de la famille nous avons pu
traduire ainsi (à confirmer) :
Si les mots ne
peuvent mentir
Le regard ne peut pas
Si tu comprends mon
silence
Alors tu comprendras
ma pensée
Quand au second ???
Graet em eus an dreizhadenn
Aner eo klask pelec’h emaon
O kantren emaon da viken
Atre ar Menez hag an Aon
si quelqu’un pouvait nous aider ??
Merci d’avance
Coucou , contente de te retrouver
RépondreSupprimerJe ne pourrais pas t'aider , j'ai partager ton article avec Le Vaillant , qui semble bien connaitre le breton
Peut être auras tu une réponse rapide
Bises Sharron
J'ai fait le parcours
RépondreSupprimerInutile est recherche où Je suis
Je suis en train de vagabonder pour toujours
*Atre Ar Menez et la Peur
voilà une traduction d'un site traduction breton-
bonne chance- bisous !
Hélas, je ne serai d'aucun secours, pas même en anglais.
RépondreSupprimerBelel photos du sous bois.
Bonne soirée
@mitié
Si ma Grand-Mère et Maman nous avaient appris le breton...
RépondreSupprimerQuand elles parlaient en breton devant nous, ou bien elles parlaient de nous, ou bien c'étaient des conversations de "grands" que nous ne devions pas comprendre.
J'aime bien la traduction trouvée par LadyMarianne.
Bises à vous deux de nous deux ^!^
Allez, j'ai fait un petit effort
RépondreSupprimerC'est pas grâce à ma connaissance du catalan !
Voilà ce que j'ai pu trouver et traduire :
J'AI FAIT LA TRAVERSEE
MAIS SANS SUCCES
DEPUIS J'ERRE TOUJOURS
ENTRE LES MONTAGNES NOIRES, DANS LA CRAINTE
Tu me diras ce que t'en pense, mais ça n'a pas l"air
trop loin de ce qu'a trouvé L.MARIANNE
De la part de "Un coup ça braille, un coup ça braille pas" (Tu comprendras !)
Demat deoc'h/Bonjour,
RépondreSupprimerLa traduction du deuxième poème est :
Graet em eus an dreizhadenn
Aner eo klask pelec’h emaon
O kantren emaon da viken
Etre ar Menez hag an Aon
J'ai effectué la traversée
Il est inutile de chercher à savoir où je me trouve
Je vagabonde à jamais
Entre la montagne et la peur
(Aon signifie peur mais ici il peut aussi avoir un jeu de mot avec la Stêr-Aon, le nom de la rivière Aulne en breton, le sens serait alors je vagabonde à jamais entre la montagne, c'est à dire les monts d'Arré, et la rivière de l'Aulne).
Le premier texte n'a pas été bien traduit non plus :
Goût 'ra an teod livan gevier
Se ne c'hall ket al lagad ober
Chom dilavar ha sell ouzhin
Neuze da sonjoû a ouezin
La langue sait débiter des mensonges
Quelque chose que l'oeil ne sait pas faire
Ne parle pas et regarde moi
Alors je connaîtrai tes pensées
Bonjour ici
RépondreSupprimerIl y en a un, hélas j'ai eu compris la langue Bretonne, mais je ne la parle pas. Sympa ton blog