mardi 29 septembre 2015

Y a-t-il un bretonnant dans la salle ?

Il est rare que nous revenions de nos balades sylvestres sans un « petit quelque chose » dans notre besace, dans notre tête et notre cœur.



Cette fois-ci, il s’agit de messages posés sur des arbres, en forêt du Cranou (Finistère).

Nous avons juste un petit problème pour en comprendre le sens :

Le premier :



Gout'ra an teod livan gevier
Se ne c'hall ket al lagad ober
Chom dilavar ha sel ouzhin
Neuze da sonjoû a ouezin

Pour lequel, avec l’aide d’amis, de la famille nous avons pu traduire ainsi (à confirmer) :

Si les mots ne peuvent mentir
Le regard ne peut pas
Si tu comprends mon silence
Alors tu comprendras ma pensée

Quand au second ??? 



Graet em eus an dreizhadenn
Aner eo klask pelec’h emaon
O kantren emaon da viken
Atre ar Menez hag an Aon


si quelqu’un pouvait nous aider ??

Merci d’avance


7 commentaires:

  1. Coucou , contente de te retrouver
    Je ne pourrais pas t'aider , j'ai partager ton article avec Le Vaillant , qui semble bien connaitre le breton
    Peut être auras tu une réponse rapide
    Bises Sharron

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  2. J'ai fait le parcours

    Inutile est recherche où Je suis

    Je suis en train de vagabonder pour toujours

    *Atre Ar Menez et la Peur

    voilà une traduction d'un site traduction breton-
    bonne chance- bisous !

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  3. Hélas, je ne serai d'aucun secours, pas même en anglais.
    Belel photos du sous bois.
    Bonne soirée
    @mitié

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  4. Si ma Grand-Mère et Maman nous avaient appris le breton...
    Quand elles parlaient en breton devant nous, ou bien elles parlaient de nous, ou bien c'étaient des conversations de "grands" que nous ne devions pas comprendre.
    J'aime bien la traduction trouvée par LadyMarianne.
    Bises à vous deux de nous deux ^!^

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  5. Allez, j'ai fait un petit effort
    C'est pas grâce à ma connaissance du catalan !
    Voilà ce que j'ai pu trouver et traduire :

    J'AI FAIT LA TRAVERSEE
    MAIS SANS SUCCES
    DEPUIS J'ERRE TOUJOURS
    ENTRE LES MONTAGNES NOIRES, DANS LA CRAINTE

    Tu me diras ce que t'en pense, mais ça n'a pas l"air
    trop loin de ce qu'a trouvé L.MARIANNE

    De la part de "Un coup ça braille, un coup ça braille pas" (Tu comprendras !)

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  6. Demat deoc'h/Bonjour,

    La traduction du deuxième poème est :

    Graet em eus an dreizhadenn
    Aner eo klask pelec’h emaon
    O kantren emaon da viken
    Etre ar Menez hag an Aon

    J'ai effectué la traversée
    Il est inutile de chercher à savoir où je me trouve
    Je vagabonde à jamais
    Entre la montagne et la peur
    (Aon signifie peur mais ici il peut aussi avoir un jeu de mot avec la Stêr-Aon, le nom de la rivière Aulne en breton, le sens serait alors je vagabonde à jamais entre la montagne, c'est à dire les monts d'Arré, et la rivière de l'Aulne).

    Le premier texte n'a pas été bien traduit non plus :

    Goût 'ra an teod livan gevier
    Se ne c'hall ket al lagad ober
    Chom dilavar ha sell ouzhin
    Neuze da sonjoû a ouezin

    La langue sait débiter des mensonges
    Quelque chose que l'oeil ne sait pas faire
    Ne parle pas et regarde moi
    Alors je connaîtrai tes pensées

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  7. Bonjour ici
    Il y en a un, hélas j'ai eu compris la langue Bretonne, mais je ne la parle pas. Sympa ton blog

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